L'amour s'en est venu c'était un soir d'automne
Dans la ronde des feuilles mortes qui s'abandonnent

Dans le tourbillon fou des jours et des nuits
Par une nuit d'amour mon amour est parti

Dieu que la lune est belle
Quand on est en amour
Dieu que la lune est belle
Quand tu es de retour

Et si je rêve encore
Qu'un jour
Tu me reviennes
C'est que sans toi
Je suis comme un Roi
Sans sa Reine

Et s'il me faut pleurer encore
Pour te voir revenir
Alors je pleurerai si fort
Que toi, toi, tu voudras repartir

Rester insensible, impassible.
Ca peut paraitre immoral mais je resterais immobile, planter la.
A la fois invisible et tellement irresponsable.
Faire semblant d'ignorer et s'imaginer que tout ira bien, tout vas bien se passer.
Et retomber dans cette irréversible ivresse, cette addiction troublante et tellement plaisante.
C'est insaisissable, irrationnel, basé sur la simple ironie de ce qu'est la vie...

Elle disait qu'elle voulait des mots en i .

Complexe, sexe, cortex...
Crever l'abcès, prôner la liberté. Bafouer la timidité engourdit par ces années, chassé ces pensées, préoccupée d'être aimer.
Arrêter le cercle vicieux mêlant les sentiments et la beauté.